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Cosmopolite

Un Américain à Cognac

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Je pouvais presque entendre les notes de musique de George Gershwin alors que je descendais du TGV à la gare d’Angoulême. Pure coïncidence, un sourire à la Gene Kelly balaya mon visage alors que mes yeux se posaient pour la première fois sur le paysage de la Charente. J’étais – presque – un Américain à Cognac.

Installez-vous près du piano et laissez-moi vous conter une mélodie dont je me souviendrai toujours. Voici un verre de Cognac XO, un souvenir liquide des quelques jours que j’ai passés en Nouvelle-Aquitaine. Prenez une gorgée d’histoire et écoutez ce que j’ai à dire sur un voyage des plus enchanteurs…

En grandissant, j’ai pris goût pour les films d’époque. Un Américain à Paris de Vincente Minnelli a toujours été en tête de liste. La nostalgie visuelle et acoustique a agi comme le miroir d’un monde que je ne connaitrais peut-être jamais – un monde qui n’a peut-être jamais existé. Ma vision romantique de la France a toujours été façonnée par l’évocation de tomber amoureux d’un endroit lointain appelé Paris, et celle d’y trouver l’amour. Pour ce que j’en savais, cependant, c’était simplement de la fiction fantaisiste hollywoodienne.

Imaginez mon heureuse surprise, en débarquant à Paris le mois dernier, de découvrir que tout était vrai. L’agitation de la vie métropolitaine française, avec en toile de fond les bâtiments Belle Époque et la signalétique Art Nouveau. Mon flirt avec la Ville Lumière fut bref cependant, je me dirigeais vers un endroit encore plus mystérieux et réputé pour un étranger amateur de cocktail : Cognac.

« J’étais presque un américain à Cognac »

Billet en main, je suis monté à bord d’un train gare Montparnasse pour une croisière de 2 heures 30 à travers la campagne. Lancé le long de la Loire, des flashs de ce que j’allais ressentir saluaient mon esprit curieux. Je pouvais presque entendre les notes de musique de George Gershwin alors que je descendais du TGV à la gare d’Angoulême. Pure coïncidence, un sourire à la Gene Kelly balaya mon visage alors que mes yeux se posaient pour la première fois sur le paysage de la Charente. J’étais—presque—un Américain à Cognac.

Ce qui suit est difficile à exprimer, c’est pourquoi j’ai apporté une pile de mes photos préférées de mon aventure de trois jours à Cognac. Il y avait des villages pittoresques en pierre, de vieux bâtiments cachant des secrets spirituels sous une couche de suie noire, des vignobles vallonnés avec des vignes qui pouvaient raconter des histoires d’une autre génération et un soleil spectaculaire qui semblait plier ma conception même de l’espace et du temps.

Après la poussière urbaine et les bruits de Brooklyn, le rythme de la vie s’est ralenti jusqu’à un calme confortable. Je regardais le rond-point du centre-ville depuis la fenêtre de mon hôtel avec l’esprit apaisé. C’est à ce moment-là, alors que je soupirais le soupire du voyageur fatigué par le décalage horaire, que je me suis rappelé les paroles de Stairway to Paradise de Georges Gershwin : « Chaque nouveau pas aide un peu ; mais n’importe quel vieux pas de deux fait l’affaire. Peu importe le pas si vous y mettez toute votre âme. Vous irez au paradis ». Dans un endroit si étranger, j’ai trouvé un monde magnifique que certains ont la chance d’appeler leur chez soi. Pour le reste d’entre nous, nous pouvons le visiter à tout moment, en levant un verre de leur alcool éponyme.

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